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Les petits Victor Hugo de Djerba
15 novembre 2020

Les 5e décrivent Djerba comme pour la première fois (les grandes découvertes).

Nous sommes arrivés sur une île appelée Djerba. En descendant du navire, on a découvert une plage qui s’étendait à perte de vue. Le sable était fin et doré. Il y avait aussi des palmiers et des arbrisseaux. Sur  tout le littoral nous voyions des hôtels. Quand nous avancions, on découvrait des maisons dont l’architecture était typiquement djerbienne. Dans les quartiers on voyait des ruelles qui serpentaient et les mosquées étaient nombreuses. Nous sommes arrivés à Houmt Souk. Il y’avait des magasins, des marchands ambulants qui vendaient des épices, des produits artisanaux….. On voyait aussi les cafés, les restaurants. On respirait l’odeur du jasmin et du thé à la menthe. Nous avions l’air fatigué, alors un djerbien chaleureux nous a invités chez lui où nous avons dégusté un délicieux couscous à la viande d’agneau puis nous avons siroté un bon thé à la menthe servi avec des amandes toutes fraîches. Lorsqu'on a fini de manger, on a remercié le djerbien qui nous a accueilli chez lui puis on est reparti. Djerba appelée "l’île des Lotophages" ou "l’île des rêves" est un endroit paradisiaque où la beauté, la simplicité et le calme règnent. 

Rined GABSI

 

Je suis arrivée sur une merveilleuse petite île paradisiaque appelée Djerba bien située entre l’Europe et les pays africains.
Elle fascinait depuis le temps d’Homère, ses habitants, ses visiteurs et ses touristes. Son climat était donc doux et très apprécié. Les brises légères apaisaient la chaleur d’été après le coucher du soleil. Sur cette île, la mer n'était jamais loin. Elle avait des reflets argentés et turquoise. Les vastes plages de sable blanc et fin accueillaient chaleureusement ses baigneurs et ses pêcheurs. La pêche était traditionnelle, simple et archaïque. Celle de l’éponge était en apnée et des poulpes à la gargoulette et d’autres multiples méthodes pour profiter de la richesse de la mer en poissons. Partout il y avait de beaux paysages magnifiques, des vergers ou il y avait des figuiers, des grenadiers, des pommiers …dont les fruits étaient délicieux, sucrés et parfumés. Jadis, les champs d’olivier s’étendaient sur toute l’île. Les oliviers étaient alignés comme des soldats. Partout, il y avait des anciennes huileries souterraines construites en pierre. Et les palmiers bas étaient ébouriffés par les brises. Les maisons djerbiennes étaient belles, construites en pierre et blanchies à la chaux avec de petites fenêtres peintes en bleu et une porte en bois sculptée aves la main de Fatma en bronze. Ces belles demeures de style typiquement djerbien étaient appelées  « Menzel » ou « Houch ». Elles avaient des coupoles ou des dômes. 

Fatma BANNOUR

 

Une fois descendus du navire, nous avons marché sur du sable doré qui crissait sous nos pieds. On voyait des oliviers et des palmiers un peu partout. Plus on avançait, plus on trouvait des maisons à l’architecture typiquement Djerbienne : des Menzels peints à la chaux blanche, les fenêtres et les portes peintes en bleu’. A Sidi Boussaid, on trouvait des mosquées avec des minarets hauts , des petits marchés appelés ‘’Souk’’ où il y avait des vendeurs d’épices, des tenues Djerbiennes, des cordonniers … Dans quelques rues on voyait des calligraphies sur les murs, c’était fort agréable de se balader dans ces petites ruelles. Les habitants de cette île nous ont très bien accueillis. Ils nous ont invité à leurs "Houch" et nous ont servis du thé pour nous réchauffer avant l'heure du déjeuner.

Imen BEN ACHOUR

 

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